Culture d'organes .

Cette vidéo s’adresse particulièrement sur les nouvelles technologies Biologique. Nous parlons donc ici de manipulation génétique sous diverses formes et leur utilité

Ce documentaire se disposes en 5 parties

Tout d’abord Olivia Johnson nous montre sa ferme dans laquelle c’est un véritable laboratoire qui s’y cache.
En effet dans cette première partie de la vidéo nous apprenons comment il est possible de faire de la manipulation génétique pour à terme guérir des maladies infectieuses.

Ici on peut constater que des vaches sont manipulées génétiquement pour produire des anticorps humain par le biais d’une injection d’un brin d’ADN ( un micro chromosome) humain concernant la fabrication de ces anticorps.
L’avantage est que la vache contient énormément de sang et donc nous pouvons récupérer 10 litres d’anticorps par vache et cela est sans danger pour elle car il se renouvelle indéfiniment dans la moelle osseuse qui contient la moelle rouge et qui est le système immunitaire relatif a tout les mammifères.
Une vache produit 10 L d’anticorps humains, cela est une vrai arme biogénétique contre des maladies très infectieuse et pourrai permettre à terme de sauver des vies humaines.

La deuxième partie concerne l’ingénierie tissulaire. C’est une science qui a pour but de recréer des organes ou des tissus humains a partir de cellules souches (cellules tiré d’un cordon ombilical)
Ces cellules suivant l’environnement ou elles sont placés et les minéraux dans lesquelles elles sont plongé permette de recréer Un organe tel qu’un foie ou tout simplement de la peau humaine. Cela permettra de sauver des vies humaines ou aider a la reconstruction de personnes ayant été brulé en imposant des greffes de peau humaines fabriqué dans ces laboratoires.
Cela permettrais donc de construire des organes humains en série et ainsi de sauver plus plusieurs milliers de personnes souffrantes de maladies graves ou d’un organe défaillant.
Dans cette vidéo vous voyez la construction d’un nez de A à Z avant qu’il se fasse greffer. Le résultat n’en est que plus impressionnant.

3iême partie du documentaire
Ici la biotechnologie est appliquée sur des moutons.

En effet on injecte une portion de cellule souches humaines implanté dans l’utérus d’un mouton. Le but étant que le mouton puisse être une source d’organes humains afin d’obtenir des organes compatible pour les personnes auxquelles il manque un organe. Ces moutons ont 15% de gènes humains et cela permettrai de recueillir leur organes et de les transplanter chez les humains sans qu’il n’y ai de problème de rejet ni de compatibilité. Le document explique en profondeur le procédé qui permettrai d’arrivé à une telle conclusion. Celle que les animaux produisent des organes humains..

La quatrième partie de la vidéo est consacrée au premier témoignage d’une femme ayant reçu une vessie créé en laboratoire de toutes pièces et que depuis cela a changé sa vie mais se demande si cela ne risque pas d’avoir d’autres impact dans le futur sur sa santé en termes d'effet secondaire a cette nouvelle technologie

De plus un extrait inédit et fort intéressant dans cette vidéo nous montre comment les plantes mortelles peuvent jouer un rôle décisif dans la fabrication d’un composé cellulaire humain sur une plante tel que le tabac. En effet elle permettrai de rendre le virus du Sida inactif. Une grande évolution dans la recherche contre le fléau de ces 20 dernières années. Grâce a cette découverte la plante de tabac dans laquelle le gène a été incorporé permet de produire une crème anti-VIH et qui annihilerai l’activité du virus. Ce qui est plutôt surprenant

Dans cette dernière partie, la biotechnologie s’intéresse à la reconstruction de membres et à la régénération cellulaire de tout type. Jusqu'à la possibilité de faire repousser un membre comme un bras ou une jambe. Tout est assez survolé car ses expériences sont dans un stade très expérimental vu que les test ont été réalisé sur des oreilles de souris. Nous ne parlons pas de cicatrisation ici mais de régénération. Les autres expériences menées concernent le compréhension du comportement des souris via différents gênes humains pour comprendre les influences des comportements. Vous verrez des souris obèses, alcoolique, des souris mutantes dans le but de comprendre les comportements humains. une technologie de mutation qui rejoint donc la psychologie


Tout ceci est fortement intéressant car ce documentaire retrace les buts médicaux dans les bons domaines de recherches.

Cependant si cette technologie serait utilisé chez les militaires, lors des combats, les membres repousserais a nouveau serais-ce une alternative a la fin des handicaps lourds suite au horreur de la guerre ?.

Et si toutes ses manipulations génétiques nous permettrais de remonter a la source de notre ancêtre commun ?

Affaire à suivre

Une équipe internationale de chirurgiens a réussi la première greffe mondiale d'une trachée-artère artificielle recouverte de cellules souches, a indiqué jeudi l'hôpital suédois où cette opération innovante a été réalisée.


Le 9 juin, un homme de 36 ans, souffrant d'un cancer de la trachée à un stade avancé, a reçu une nouvelle trachée-artère faite d'une structure synthétique et recouverte par ses propres cellules souches, a indiqué dans un communiqué l'hôpital universitaire Karolinska de Huddinge, dans la banlieue de Stockholm.

Ce type de médecine régénérative pourrait, selon l'hôpital, révolutionner le champ des greffes de trachées, les rendant nettement plus accessibles.

"Les greffes de trachées-artères conçues avec une structure synthétique combinée aux cellules souches du patient, élevées au rang de procédé standard, signifient que les patients n'auront plus à attendre un donneur d'organe compatible", a-t-il indiqué.

Ce serait particulièrement bénéfique pour les enfants, "étant donné que les trachées de donneurs sont moins nombreuses que pour les patients adultes", a-t-il indiqué, insistant sur le fait qu'une opération rapide offrirait aux patients de meilleures chances de guérison.

L'équipe de chirurgiens était menée par le professeur Paolo Macciarini de Karolinska et comptait dans ses rangs le professeur Alexander Seifalian, de l'University College de Londres, qui a conçu et fabriqué la trachée-artère artificielle.

Dans le même temps, des chercheurs de Harvard Bioscience ont construit un bioréacteur particulier utilisé pour implanter les cellules souches du patient sur la structure. Les cellules ont pu se développer sur la trachée-artère synthétique pendant deux jours avant la greffe.

"Comme les cellules utilisées pour régénérer la trachée étaient celles du patient, il n'y a pas eu de rejet du greffon et le patient ne prend pas de médicaments immunosuppresseurs", a indiqué l'hôpital, ajoutant que l'homme allait "bien, sur le chemin d'une guérison totale, et qu'il serait autorisé à quitter l'hôpital demain (vendredi)."

La trachée synthétique a été utilisée en dernier recours, selon l'équipe, étant donné que, malgré une radiothérapie, la tumeur du patient était devenue si grosse qu'elle menaçait d'obstruer totalement la trachée-artère, et qu'il n'y avait pas de donneur compatible.

Macciarini avait déjà réalisé avec succès des greffes de trachées conçues avec des cellules souches mais, dans ces cas, les trachées-artères étaient prélevées sur des donneurs puis couvertes des cellules souches des patients.