Isabel Authier
La Voix de l'Est
(Granby) L'espoir fait vivre et peut mener loin. Parlez-en à Dominique Dufault, une Granbyenne qui joue présentement le tout pour le tout pour améliorer sa santé. Depuis le 21 octobre, elle séjourne en Chine où elle reçoit des injections de cellules souches.
En 2008, Dominique a reçu un sombre diagnostic : on lui a appris qu'elle souffrait d'ataxie cérébelleuse, une maladie dégénérative qui attaque le cervelet et entraîne des troubles de motricité fine, d'élocution et d'équilibre. Elle a aussi appris qu'il n'existait aucun traitement curatif pour guérir l'ataxie.
À 53 ans, la dame n'avait pourtant ni l'âge ni le désir de plier l'échine devant une telle nouvelle. Grâce à sa grande amie Michèle Lévesque, l'espoir a pu renaître. « Cet été, je suis allée fouiner sur internet et j'ai vu que la compagnie Beike offrait des traitements de cellules souches en Chine. On a conversé avec un représentant de la compagnie, et voilà », raconte Michèle, en précisant que ce type de traitements n'est pas encore autorisé au Canada.
« Dominique a réfléchi longtemps avant de dire oui. C'était une grosse décision pour elle » Surtout quand on sait qu'un tel traitement coûte entre 20 000 $ et 30 000 $.
Depuis leur arrivée à Shijiazhuang, les deux dames résident dans une chambre du Bethune International Peace Hospital. Déjà, Dominique a reçu sa quatrième injection lombaire sur les six prévues d'ici le 15 novembre. Le protocole de traitement prévoit également des séances d'acupuncture et d'exercices. On lui fait également ingérer une grande quantité d'une boisson naturelle au goût de « restant de tondeuse », illustre-t-elle avec humour.
En 2008, Dominique a reçu un sombre diagnostic : on lui a appris qu'elle souffrait d'ataxie cérébelleuse, une maladie dégénérative qui attaque le cervelet et entraîne des troubles de motricité fine, d'élocution et d'équilibre. Elle a aussi appris qu'il n'existait aucun traitement curatif pour guérir l'ataxie.
À 53 ans, la dame n'avait pourtant ni l'âge ni le désir de plier l'échine devant une telle nouvelle. Grâce à sa grande amie Michèle Lévesque, l'espoir a pu renaître. « Cet été, je suis allée fouiner sur internet et j'ai vu que la compagnie Beike offrait des traitements de cellules souches en Chine. On a conversé avec un représentant de la compagnie, et voilà », raconte Michèle, en précisant que ce type de traitements n'est pas encore autorisé au Canada.
« Dominique a réfléchi longtemps avant de dire oui. C'était une grosse décision pour elle » Surtout quand on sait qu'un tel traitement coûte entre 20 000 $ et 30 000 $.
Depuis leur arrivée à Shijiazhuang, les deux dames résident dans une chambre du Bethune International Peace Hospital. Déjà, Dominique a reçu sa quatrième injection lombaire sur les six prévues d'ici le 15 novembre. Le protocole de traitement prévoit également des séances d'acupuncture et d'exercices. On lui fait également ingérer une grande quantité d'une boisson naturelle au goût de « restant de tondeuse », illustre-t-elle avec humour.